Tags

Recent Articles

C.B.D. qu’est-ce que c’est ?

visibility598 Views comment0 comments

Le CBD, ou cannabidiol est une molécule contenue dans la plante du chanvre (Cannabis Sativa) et plus précisément au niveau des feuilles et de la fleur. Très souvent associé à sa cousine le THC, ou delta9-tétrahydrocannabinol, aussi issue de la famille des cannabinoïde, le CBD n’a pas d’effets stupéfiants, contrairement à elle, et ne créé donc pas de dépendance.

Qu’est-ce que le chanvre ?

Le chanvre, chanvre textile, chanvre industriel ou chanvre agricole est une variété de plante cultivée (Cannabis sativa L.) de la famille des Cannabaceae. C’est une plante herbacée annuelle, désormais considérée comme l’unique espèce du genre botanique. Bien que désignant la même espèce (Cannabis est le nom latin du Chanvre) le terme chanvre est désormais utilisé de préférence pour désigner la plante industrielle. Tandis que Cannabis est le nom médiatique utilisé pour désigner l’utilisation de sa substance psychoactive sous forme récréative. Le chanvre industriel désigne des variétés sélectionnées pour un taux de THC inférieur à 0,2%. Le THC est une des molécules présentes dans la matière végétale de la plante. C’est le seul de tous les Cannabinoïdes qui soit psychoactif.

Qu’est-ce que le THC ?

Le tetrahydrocannabinol, ou THC, est la molécule responsable des principaux effets psychoactifs du cannabis. Il agit comme les cannabinoïdes produits naturellement par notre corps au sein du système endocannabinoïde. Il a été isolé et synthétisé par Raphaël Mechoulam en 1964.

Les récepteurs cannabinoïdes sont concentrés dans certaines parties du cerveau associées à la réflexion, à la mémoire, au plaisir, à la coordination et à la perception du temps. Le THC vient se lier à ces récepteurs et les active. Il affecte ainsi la mémoire d’une personne, son plaisir, ses mouvements, sa pensée, sa concentration, sa coordination et sa perception du temps.

Le THC est un des nombreux composés chimiques qu’on trouve dans la résine sécrétée par la plante de Cannabis. La plupart de ces glandes se trouvent autour des organes reproducteurs de la plante, les fleurs. D’autres composés spécifiques au cannabis, appelées cannabinoïdes, sont présents dans cette résine.

Histoire du cannabis

8000 av JC : première trace d’utilisation du chanvre

Les traces de la première utilisation du chanvre remontent à l’an 8000 av. J.-C. Elles ont été retrouvées lors de fouilles menées sur le site néolithique de Xianrendong, en Chine. Des pots et des céramiques décorés de fibres de chanvre ont été découverts.

3000 av JC : le cannabis se répand dans toute l’Eurasie avec l’intensification du commerce

A partir de 3000 av. J.-C., le cannabis devient une plante importante pour le commerce chinois. Sur la route de la soie, il sera acheté par les Scythes, connus pour consommer la plante sous la forme de bains de vapeur sous de petites tentes de laine. Cette consommation du cannabis a pu être mise en lumière par la découverte de vestiges d’un chaudron de bronze contenant des graines de chanvre brûlées, ayant été utilisées de manière récréative.

Histoire du cannabis récréatif

C’est en Inde que l’on voit apparaître les premières utilisations du cannabis récréatif. Il était utilisé dans le cadre de la religion et de la spiritualité, bien que les Indiens reconnaissent également ses vertus thérapeutiques, notamment dans le traitement des inflammations. On le retrouve également consommé par les Scythes, ces nomades d’Asie centrale présents en – 400 avant notre ère.

La culture du cannabis récréatif se développe ensuite principalement vers l’an 800, en Asie et au Moyen Orient, avant de se répandre à travers le monde. L’usage du cannabis récréatif sera particulièrement présent sur les territoires colonisés par l’Empire britannique, se développant en Jamaïque suite à l’arrivée des Indiens envoyés sur l’île.

Marco Polo lui-même faisait boire des décoctions de cannabis à ses marins pour qu’ils "dorment paisiblement la nuit"

1378 : première interdiction de la culture du Cannabis en Egypte l’émir Soudoun Sheikouni qui condamne ceux pris en train d’en consommer à avoir les dents arrachées.

En 1484, le Pape Innocent VIII déclare le cannabis "propre pour le sabbat de Satan", mais les intérêts économiques et militaires intensifiaient la culture du chanvre. Il faut dire qu’à cette époque, les fibres de la plante sont utilisées pour faire les cordes et voiles de navire, ce qui en fait une ressource de premier ordre.

1611 : introduction du cannabis en Virginie

Suite au développement de la culture du cannabis en Europe, les navires anglais introduisent la plante aux Etats-Unis, dans la colonie de Jamestown en Virginie. La fibre de chanvre sera utilisée pour la réalisation de voiles, de cordes et de grand nombre de produits, les fermiers subissant même l’obligation de la culture du chanvre suite à loi de 1619.

En 1794, Georges Washington, amateur de cannabis, demande à ses hommes : "Make the most of the Indian hemp seed and sow it everywhere" qui peut se traduire par : "Prenez le plus possible de graines de chanvre indien et semez-en partout".

Au milieu du XIXème siècle, le médicament le plus utilisé aux Amériques et dans le Vieux Continent était la teinture de chanvre soit en fait une décoction de cannabis dans de l’alcool. D’ailleurs, la Reine Victoria en consommait régulièrement afin de supporter ses douleurs menstruelles. Puis vint la prohibition de l’alcool.

Devant l’échec de celle-ci, la propagande américaine impute la majorité des crimes commis aux consommateurs de marijuana. Le cannabis est diabolisé, répudié. Dans plusieurs médias, le message passe en boucle : "cannabis = violence". A cette époque, la ségrégation est omniprésente et la récupération est très vite faite par les lobbyistes. Ainsi, les titres de presse affichent rapidement que les viols de femmes blanches sont commis par les fumeurs d’herbe noirs.

L’interdiction

Aux Etats-Unis

1937 : Le Marihuana Tax Act prend effet en 1937 aux Etats-Unis, rendant illégale la consommation et la production de cannabis, même à des fins médicales. Des sanctions sévères sont également mises en place, pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement des consommateurs ou cultivateurs.

 

En France

La toute première mesure d’interdiction du cannabis dans l’histoire de France a été adoptée le 8 octobre 1800 en Égypte, alors occupé par l’armée révolutionnaire française.

Généralement mal attribuée par les historiens à Napoléon, cette interdiction, en fait, a été émise de la politique coloniale de Jacques-François « Abdallah » Menou, le général en chef de l’Armée d’Orient travaillant à installer une République sœur en Afrique du Nord.

Selon lui, ces classes défavorisées et leur consommation de cannabis menaçaient le partenariat fragile qu’il construisait entre l’élite indigène égyptienne et les forces d’occupation françaises. Cependant, Menou ne savait pas ou ne se souciait pas de savoir que c’étaient les Grecs d’Alexandrie, et non pas les musulmans, qui contrôlaient le marché du haschisch en Égypte à cette époque. Ni d’ailleurs que ce sont les exactions de l’armée française à l’encontre des populations, et non l’intoxication au haschish, qui ont provoqué les mouvements de résistance à la colonisation.

Au cours du siècle suivant, les autorités françaises ont adopté plus d’une douzaine d’interdictions et de réglementations répressives du cannabis dans les juridictions métropolitaines et coloniales, présentant presque toujours la question de la consommation de cannabis comme une question de sécurité impériale et nationale.

Au Cambodge en 1907, en Indochine en 1910, toute la France en 1916, l’Afrique équatoriale française en 1926, la Syrie et le Liban en 1934, Madagascar en 1941, et toute la France (encore une fois) en 1953 puis 1970 – dans chaque cas le gouvernement français a proclamé que l’intoxication au cannabis et les consommateurs de cannabis – notamment ceux issus du monde colonisé, représentent des menaces au progrès et à l’ordre social. Mais chaque tentative de répression de cette drogue a échoué.

Peut-être que la seule réglementation réussie sur le cannabis promulguée par les Français au cours de cette période s’est produite en Tunisie (1881) et au Maroc (1914), où, sous le régime du protectorat, les Français ont décidé d’autoriser l’usage généralisé et de laisser les autorités locales opérer un monopole d’État, l’essentiel des recettes fiscales allant dans les caisses coloniales françaises.

Les années 60

En France

S'il est bien un moment clé pour comprendre le panorama français actuel, c'est mai 1968. Au cours de cette année a eu lieu une série de révoltes organisées par les étudiants français, déçus du modèle de société que leur imposait l'État dirigé par Charles de Gaulle.

La révolution a revêtu un caractère pacifiste et libertaire, dans un cri contre la guerre et la violence des autorités. Non sans raison, la vague de protestations qui s'en est suivie pendant cette période a débouché sur la grève générale la plus importante de France, suivie par plus de neuf millions de personnes. Ces protestations se sont unies au mouvement « hippie » des années soixante et soixante-dix, qui incluait dans ses programmes la dépénalisation du cannabis comme une étape supplémentaire vers une société intelligente où il était « interdit d'interdire ».

Depuis lors, l'image de la feuille avec les folioles en forme d'étoile a été associée aux épisodes révolutionnaires qui ont marqué les années soixante-dix. Après 1968, la droite est revenue au pouvoir (cette fois-ci sous la houlette de Georges Pompidou) et a dû exercer des démonstrations réactionnaires et de sécurité pour contenter son électorat des classes aisées et les « lobbies » du secteur industriel, encore paralysé par les barricades et la grève générale. C'est dans ce contexte que fut approuvée la loi de 1970 et son célèbre article L-627, qui considère les consommateurs comme des délinquants ou des malades, selon l'évaluation du juge. Le plus surprenant est que cet article controversé est toujours la base de la législation actuelle. 

Depuis lors et selon les autorités françaises, le cannabis a été étudié en termes de sécurité. En raison des événements historico-politiques, la marijuana est présentée dans le « statut quo » français comme un défi pour le maintien de l'ordre public, associé à la rébellion et au chaos.

Ce point de vue a eu une portée collective et est ancré dans le subconscient de la société. Il est curieux d'expliquer l'opposition existante entre l'alcool et le cannabis. Si tous deux sont (selon la législation) des drogues pouvant causer de graves addictions, en France le vin est associé à la convivialité, à la façon de vivre « à la française » et au développement des régions. Par conséquent, il est perçu comme une tradition culturelle et patriotique, alors que le cannabis est directement lié à l'insécurité, un terme qu'aucun parti ne souhaite associer à son programme politique.

Aux Etats-Unis

Les hippies, les étudiants protestataires, les artistes de la mouvance pop ou du psychédélisme, etc. ont tous fait de l’usage de drogue un élément récurrent de leur rhétorique de transgression ou de libération.

Le candidat républicain à la Maison blanche en 1968, Richard Nixon, fait de la drogue un important thème de sa campagne pour le retour de la loi et de l’ordre contre le laxisme des démocrates. Une fois élu, il le met en application. En 1970, une nouvelle loi fédérale, le Comprehensive Drug Abuse Prevention and Control Act unifie et renforce les dispositions relatives au contrôle et à la prohibition des substances psychotropes.

Médicale

1996 : légalisation de l’usage médical du cannabis en Californie

Après l’interdiction du cannabis aux Etats-Unis, c’est l’État de Californie qui autorise son usage médical pour la première fois en 1996. Cet événement historique mènera vers la légalisation intégrale du cannabis à Washington et dans d’autres États américains.

2019 : première expérimentation de l’usage du cannabis médical en France

Suite à un retard lié à la pandémie du Coronavirus, c’est en 2021 que la première expérimentation de l’usage du cannabis médical aura lieu en France. Cette expérimentation concerne 3000 patients et sera menée sur une durée de trois ans. C’est une première, qui pourrait ouvrir la porte à une utilisation du cannabis médical autorisée en France.

Le cannabidiol est un composant vertueux du cannabis. En médecine, le CBD est une substance utilisée pour traiter et soulager différentes maladies et leurs symptômes. Voici les principaux bienfaits du cannabidiol, une substance active passionnante, qui entre dans la composition de nombreux médicaments.

Un effet anti-inflammatoire considérable

Le CBD est une substance active, qui présente des effets anti-inflammatoires naturels conséquents. C’est le cas de l’ensemble des cannabinoïdes. Pour cette raison, le cannabidiol est un complément alimentaire prisé des sportifs, qui y trouvent une source de soulagement pour leurs douleurs musculaires et articulaires. De la même façon, les personnes qui souffrent de douleurs inflammatoires chroniques peuvent utiliser le cannabidiol pour les soulager et pour les prévenir. Le cannabidiol est une substance utilisée en médecine pour traiter l’inflammation, entre autres choses. Il peut bien sûr s’associer à d’autres compléments alimentaires dans ce cadre à l’image du ginseng de Corée, par exemple.

Grâce à son effet anti-inflammatoire, le cannabidiol peut également soulager les enflures et les douleurs articulaires liées à la polyarthrite rhumatoïde. Il contribue à ralentir la progression de la maladie et à réduire la destruction articulaire.

Un antidouleur naturel

Au cours d’une étude menée en 2019, le cannabidiol s’est montré aussi efficace qu’un antidouleur classique pour soulager la douleur sur le court terme. Selon cette étude, le cannabidiol possède des propriétés analgésiques et anxiolytiques très importantes. Cette molécule présente ainsi des vertus naturelles contre toutes les formes de douleur.

Les cannabinoïdes sont des immunomodulateurs

En plus de prévenir et le soulager les douleurs, le CBD est un remède efficace pour agir sur le système cannabinoïde de notre organisme. Il réduit donc l’inflammation, mais permet aussi d’équilibrer le système immunitaire et de nous préserver du stress oxydatif. Le système immunitaire possède différents capteurs pour les cannabinoïdes que nous consommons en plus de ceux que notre corps produit.

Le système cannabinoïdes que nous possédons peut-être déséquilibré par différents facteurs : maladies auto-immunes, inflammations, etc. L’utilisation de CBD permet de rééquilibrer ce système et de le soutenir. Il agit directement sur les cellules immunitaires et déclenche plusieurs réactions antioxydantes et anti-inflammatoires bénéfiques.

Stress, anxiété et cannabidiol

Comme nous l’avons précisé juste avant, le cannabidiol possède des effets anxiolytiques. Cela signifie qu’il aide l’organisme à lutter contre le stress émotionnel et l’anxiété de manière générale. Cette substance favorise la détente et la relaxation, ce qui peut être d’une véritable aide pour les personnes sujettes au stress chronique et aux angoisses. Cela peut même avoir de l’intérêt dans le cadre du traitement de la dépression. C’est ici l’une des qualités les plus connues du cannabidiol. De plus, les chercheurs estiment que cette molécule serait aussi efficace contre le trouble obsessionnel compulsif, le trouble de panique et le trouble de stress post-traumatique.

Épilepsie et autres troubles neurologiques

Le CBD est une substance active non addictive qui présente de nombreux intérêts au chapitre des troubles neurologiques. En effet, il présente un très fort potentiel médical dans le soulagement de différents troubles comme la dystonie ainsi que dans le traitement de l’épilepsie. Il agit comme un véritable sédatif, ce qui permet de prévenir et de soulager les crises. Il adoucit aussi l’agitation, en particulier dans le cadre de la maladie de Parkinson.

Par ailleurs, le cannabidiol peut être bénéfique dans le cadre du traitement des troubles du spectre autistiques ainsi que de la schizophrénie. Les études ont démontré que le CBD est particulièrement efficace pour soulager les symptômes de la schizophrénie, notamment lorsque les expressions émotionnelles émoussent le patient, ou en cas de retrait social. Dans ce cadre, le cannabidiol serait aussi efficace que les antipsychotiques atypiques, tout en provoquant moins d’effets secondaires.

Des propriétés préventives face à la dégénérescence

En raison de ses propriétés sur le système cérébral, le CBD peut considérablement retarder l’apparition d’une maladie dégénérative. Il peut en soulager les symptômes et réduire la vitesse de développement de ce type de pathologie. Le cannabidiol active les cellules du cerveau et contre les effets du stress oxydatif ou des substances toxiques. Il permet au système vasculaire cérébral de lutter contre les lésions qui peuvent l’affecter.

Les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires du CBD le rendent très intéressant dans le cadre du traitement de la SLA : la sclérose latérale amyotrophique. De plus, cette molécule semble permettre d’inverser la mauvaise fonction cognitive des sujets atteints de la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer. Le CBD protège des dommages cérébraux et contribue à réduire le débit sanguin. De ce fait, il protège le cerveau et prévient de nombreuses maladies neurodégératives.

Le CBD et la santé cutanée

Le cannabidiol réduit la synthèse lipidique et régule l’activité des glandes sébacées. Il contribue ainsi à prévenir et à traiter l’acné. De plus, ses effets anti-inflammatoires sur les glandes sébacées augmentent son potentiel d’agent thérapeutique dans le traitement de l’acné. De cette façon, le chanvre cultivé aide à contrôler les éruptions et à les faire disparaître plus rapidement. Par ailleurs, le cannabidiol s’avère tout aussi bénéfique dans le traitement du psoriasis, de l’eczéma, des rougeurs ainsi que des autres affections cutanées.

À cet effet, il existe des crèmes à base de CBD qui permettent de traiter de façon locale certains problèmes de peau et de l’hydrater de manière efficace. Les vertus hydratantes et nourrissantes des crèmes à base de cannabidiol permettent non seulement de diminuer les douleurs articulaires ou les inflammations musculaires mais aussi de soulager les différents problèmes de peau. Il conviendra simplement pour en profiter d’appliquer la crème de façon locale et à l’endroit le plus approprié.

Les autres bienfaits du CBD

Le cannabidiol est souvent utilisé pour contrer les effets indésirables de médicaments ou de traitements médicaux, tels que les nausées et les vomissements. Il peut accompagner des traitements lourds dans ce cadre, à l’image de la chimiothérapie. Cette substance active pourrait aussi augmenter l’appétit, à l’instar du fenugrec.

En raison de ses propriétés sédatives et relaxantes, le CBD est une solution pour ceux qui cherchent à favoriser l’endormissement et profiter d’un sommeil de meilleure qualité. En effet, il les aide à trouver plus facilement le sommeil, ce qui est idéal en cas d’insomnie. De la même façon, ce principe actif améliore la qualité et la quantité de sommeil profond des personnes qui l’utilisent dans ce cadre.

Des effets prometteurs ont été constatés contre les cancers du sein métastasés grâce à la recherche sur le CBD. Il semblerait que la molécule désactive le gène étant responsable de la prolifération des cellules cancéreuses dans plusieurs types de cancers. De plus amples recherches sont nécessaires à ce chapitre, même si les premiers résultats sont encourageants.

Etudes

Expérimentation : en 2020, le cannabis demeure de très loin le produit illicite le plus expérimenté en France. Près de la moitié des adultes (46%) en ont déjà consommé. Entre 2017 et 2020, la diffusion du cannabis s’est stabilisée (45% en 2017).

La proportion des usagers dans l’année (11%, soit un adulte sur dix) n’a pas varié depuis 2014 et celle des usagers réguliers (au moins 10 fois dans le mois) apparaît en léger recul, passant de 3,6% en 2017 à 3,2% en 2020.

En 2020, plus de 5 hommes sur 10 ont déjà consommé du cannabis au cours de leur vie (55%) contre moins de 4 femmes sur 10 (38%). Même si l’écart des niveaux d’usage dans l’année entre les hommes et les femmes reste marqué (respectivement 15,2% pour les hommes contre 7,5% pour les femmes).

La dernière fois qu'ils ont consommé du cannabis, la plupart des usagers dans l’année l’ont fumé sous forme de joint (94%), loin devant le vapotage ou la vaporisation (2,3%), l’ingestion alimentaire de produits dérivés du cannabis ou en infusion (2,2%) ou l’usage du narguilé ou du bang (moins de 1%).

Parmi ceux qui ont fumé un joint lors de leur dernier usage, 61% ont pris de l’herbe et 37% de la résine, presque tous l’ayant mélangé avec du tabac (95%). Cette prédominance récente de l’herbe se confirme et s’inscrit dans le contexte des mutations du marché du cannabis en France observées depuis 2015.

Source : santepubliquefrance.fr

La France est, non sans raison, le premier pays avec le Canada comptant le plus grand nombre de consommateurs de cannabis : 500 000 consommateurs habituels et plus de trois millions de consommateurs occasionnels.

Une estimation révèle que le marché du Cannabis en France rapporte entre 300 et 400 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021.


Législation

CBD

Il existe quatre différentes possibilités de législation : l’illégalité totale (dans la plupart des pays d'Afrique et du monde arabe, par exemple), la légalité (États-Unis et quelques pays anglo-saxons et européens), la dépénalisation (quelques pays) et la dérogation thérapeutique (beaucoup de pays européens). Dans tous les pays où le cannabis en général est légal, le CBD l'est naturellement aussi.

En France, le gouvernement a encadré la production et la distribution du chanvre industriel (dont est issu le cannabidiol) par l'arrêté du 30 décembre 2021et définit le taux limite de THC à 0,3%. Il autorise la vente de produits transformés issu du chanvre ainsi que l'exploitation des sommités florales (fleurs et feuilles) mais en interdit la vente au grand public. Cette interdiction a été suspendue le 24 janvier 2022 par le Conseil d'Etat.

La légalisation de la commercialisation du CBD offre plusieurs avantages pour la France. À l’instar d’autres pays qui tirent des bénéfices de la légalisation du produit depuis des années, la France aussi pourrait être avantagée de diverses façons. Par exemple, l’économie du pays pourrait connaître une forte croissance en un temps record si cette autorisation devenait effective.

Cannabis

La France possède l'une des législations les plus strictes concernant le cannabis. Aujourd'hui, la consommation thérapeutique se réduit à un seul médicament, le Sativex, qui sert à soulager les spasmes des malades souffrant de sclérose en plaque.

Selon le Décret de Santé Publique de juin 2013 (qui juge les consommateurs, se différenciant ainsi du Code Pénal qui juge les producteurs ou les trafiquants), les médicaments à base de cannabis sont autorisés, mais pas le cannabis thérapeutique ; c'est pourquoi le spectre de cette variété de remèdes se réduit notablement. De plus, la loi prévoit également de dures sanctions pour ceux qui consomment le cannabis individuellement. Pour eux, la consommation simple constitue une sanction pénale pouvant impliquer, au maximum, un an de prison ferme ou une amende pouvant atteindre 3 750 euros. Quant à l'achat ou la vente au marché noir et la production illégale, il est également possible qu'un consommateur soit accusé de trafic de drogues. Dans ce dernier domaine, la production de cannabis est punie de peines de prison pouvant atteindre jusqu'à 20 ans d'emprisonnement ou des amendes pouvant atteindre 7 500 000 euros.ze

Il convient également de souligner que rares sont ceux ayant été punis en suivant la peine maximale, et ceux à qui elle a été appliquée étaient responsables d'une activité de culture de type industriel. Cependant, la loi de 2007 porte une attention particulière aux récidivistes, indépendamment de la quantité consommée.

Les autres pays

Royaume-Uni

Étant donné le nombre de pays qui ont légalisé le cannabis d’une manière ou d’une autre, beaucoup se demandent si la prohibition est vraiment bénéfique.

Même en étant illégal, le cannabis n’a pas cessé d’être une substance populaire au Royaume-Uni. De nombreux groupes d’activistes et certains politiciens demandent la légalisation.

Les policiers, soit dit en passant, ne lancent plus d’opérations massives pour arrêter le type qui ferait pousser un peu de weed dans son coin. Même si des limites régulatoires sur le cannabis sont toujours en place, il est de plus en plus accepté. Une certaine attitude de laissez-faire semble prévaloir pour les petits producteurs et les consommateurs.

Beaucoup pensent qu’une décriminalisation complète pourrait arriver dans les années qui viennent. Les libéraux démocrates ont récemment annoncé une campagne pour la légalisation totale du cannabis pour les adultes. C’est la première fois qu’une initiative de cette nature est lancée par un groupe politique dans le pays.

Le vénérable Paul Flynn, député du Parlement âgé de 82 ans et qui dit n’avoir jamais consommé de cannabis, appellent les citoyens à se fumer des gros joints devant le Parlement pour protester contre la politique du pays en matière de drogue.

En novembre 2018, une petite révolution s’opère dans la législation britannique. Le Royaume-Uni accepte le CBD à vocation médicale, mais exclusivement dans sa version pharmacologique. En effet, il est illégal de se servir de la plante dans un but récréatif. Il est interdit de se servir des plantes fleuries de cannabis pour obtenir un médicament de prescription.

Allemagne

Le pays le plus peuplé d’Europe, l’Allemagne s’engage aujourd’hui à légaliser la consommation et la vente de Cannabis. On parlerait même déjà, d’un possible droit personnel à l’auto-culture. L’information est tombée jeudi 18 novembre, la coalition majoritaire et le SPD le parti de Merkel viennent de donner leur feu vert politique à une légalisation contrôlée du Cannabis à usage adulte. Le processus va pouvoir officiellement commencer. L’Allemagne pointe la lune, la France regarde le doigt. Les nouvelles fraîches de l’herbe sèche, sont sur Le Cannabiste.

En Allemagne le Cannabis médical est accessible depuis 2016 et la possession petites quantités de Cannabis ne donnent plus lieu à des poursuites pénales depuis 1992.

Selon les régions, en Allemagne il est plus ou moins possible de détenir jusqu’à 15 grammes d’herbe sans risquer même une arrestation.

=La cour fédérale fixe d’ailleurs déjà un seuil de détention à 7.5 grammes, pour dissocier légalement l’usage de la vente. En revanche pour les quantités supérieures à ces valeurs, il reste encore possible de recevoir de grosses amendes et de la prison.

L’achat, la vente et l’utilisation du CBD sont légales en Allemagne. Bien entendu, la quantité de THC présente dans les produits doit être inférieure à 0,2%.

Pays Bas

En Europe, les Pays-Bas sont actuellement le pays le plus avancé sur cette question. Si le cannabis n’y est pas légal, sa consommation est tolérée et la possession de moins de cinq grammes de cannabis est décriminalisée depuis 1976. Selon Forbes, les Pays-Bas compteraient près de 570 coffee-shops dont 30% d’entre eux sont situés à Amsterdam.

Espagne

En Espagne, la consommation de marijuana à des fins personnelles, a été dépénalisée mais pas légalisée à tous égards.

La possession de marijuana en public est, au contraire, considérée comme illégale. Si vous avez plus de 50 grammes, les sanctions peuvent également être sévères, tandis que si la quantité d’herbe est inférieure à 30/40 grammes, vous risquez d’être soumis à amendes (à partir de 300 euros et jusqu’à 630 euros).

En revanche, est toujours possible dans les limites de notre espace privé ou dans les clubs mentionnés ci-dessus. De plus, le poids doit être limité afin de prouver une utilisation personnelle et non la vente du produit lui-même et est puni d’un emprisonnement de 3/4 ans minimum, mais la peine varie en fonction du poids possédé.

Belgique

Détenir ou cultiver du cannabis est une infraction punissable d’une amende ou d’un emprisonnement. Mais dans la pratique, celui ou celle qui a plus de 18 ans et qui détient du cannabis "pour son usage personnel" ne sera vraisemblablement pas poursuivi, sauf si cette détention s’accompagne de circonstances aggravantes ou de troubles à l’ordre public. La quantité maximum considérée pour un usage personnel est de 3 grammes (sur soi) ou une plante cultivée (à son domicile).

Comme dans le reste de l’UE, le cannabis CBD est parfaitement légal en Belgique. Pour autant que le plant contienne moins de 0,3% de THC et que la variété appartienne à une génétique autorisée par la loi européenne, il est parfaitement légal d’en acheter et d’en consommer.

Suisse

En Suisse la culture et la vente de la plante de cannabis sont autorisées. La seule condition appliquée par la Confédération Suisse est que la plante contienne moins de 1% de THC qui est la molécule psychoactive responsable de la stricte régulation qui entoure la plante. Toutes les plantes ayant plus de 1% de THC sont considérées comme stupéfiantes et sont régies par la Loi fédérale sur les stupéfiants et produits psychotropes. L’article 19 ci-dessous explique néanmoins qu’il est légal de posséder dix grammes de cannabis psychoactif.

Par ailleurs, la culture de CBD est légale et n’est pas soumise à autorisation pour les particuliers résidants en Suisse. Cependant la quantité de cannabis CBD qui peut être produite sans devoir en informer les autorités varie en fonction des cantons.

Canada

Depuis le 17 octobre 2018, le cannabis est légal au Canada et est régi par la loi C-45, Loi concernant le cannabis et modifiant la Loi réglementant certaines drogues et autres substances, le Code criminel et d’autres lois. Il devient le premier pays occidental à légaliser la substance.

Sous réserve des restrictions provinciales et territoriales, les adultes âgés de 18 ans ou plus peuvent légalement :

  • Posséder en public jusqu’à 30 grammes de cannabis légal séché, ou l’équivalent sous forme non séchée ;
  • Partager jusqu’à 30 grammes de cannabis légal avec d’autres adultes ;
  • Acheter du cannabis séché ou frais et de l’huile de cannabis d’un détaillant soumis à la réglementation provinciale ;
    • Dans les provinces et les territoires n’ayant pas encore établi de cadre réglementaire pour la vente au détail, les particuliers peuvent acheter du cannabis en ligne auprès de producteurs autorisés par le gouvernement fédéral
  • Cultiver à des fins personnelles jusqu’à quatre plantes de cannabis par résidence à partir de graines ou de semis de source autorisée ;
  • Fabriquer à la maison des produits de cannabis, comme des aliments ou des boissons, pourvu qu’aucun solvant organique ne soit utilisé pour créer des produits concentrés

Maroc

La consommation et la possession de cannabis sont illégales au Maroc. Le pays est signataire de la convention des Nations unies sur les stupéfiants et les substances psychotropes (1961, 1971 et 1988), et la législation qualifie les stupéfiants de « substances toxiques ».

Même si la vente de cannabis est illégale au Maroc, il est courant d’en trouver un peu partout dans le pays, en particulier dans des villes comme Marrakech, Fez et Casablanca, et dans la principale région de culture du cannabis, le Rif, dont Chefchaouen est la capitale.

La législation marocaine interdit la culture du cannabis, et tout contrevenant encourt une peine de prison assortie d’une amende. Cela n’empêche pas le développement de nombreuses plantations de cannabis dans le pays, et en particulier dans la région montagneuse du Rif. Selon Bloomberg, l’industrie du cannabis emploie quelque 800 000 personnes dans le pays, et fait vivre entre 90 000 et 140 000 familles. On estime également que la production de cannabis génère un revenu de 10 milliards d’euros par an.

La législation marocaine ne différenciant pas le CBD du cannabis, celui-ci est donc techniquement aussi illicite, et ce malgré son faible niveau de THC, la substance responsable du ‘buzz’.

La liste des pays où le cannabis est légal en 2022 :

  • Uruguay
  • Canada
  • États-Unis
  • Géorgie
  • Afrique du Sud
  • Luxembourg
  • Pays-Bas

Les stars et le cannabis

Malgré les restrictions, de nombreuses célébrités consomment du Cannabis dans leur sphère privé, paradoxalement mise en avant par les réseaux sociaux publics. Certains sont même allé plus loin en faisant des déclarations publiques en faveur de la légalisation de cannabis afin de pouvoir profiter de toutes ses propriétés autres que récréative et éviter ainsi le marché noir.

Rihanna

La célèbre chanteuse américaine originaire de la Barbade n’a jamais caché sa passion pour le Cannabis. Si vous suivez Rihanna sur les réseaux sociaux, vous aurez remarqué que celle-ci poste régulièrement des images ou on la voit distinctement en train de fumer. Rihanna est même allé plus loin pour prouver son attachement à cette substance, elle s’est fait tatouer une feuille de cannabis sur la fesse droite !!

Snoop Dogg

Le rappeur américain semble avoir un passé, un présent et probablement un futur marqué par le cannabis. Pour l’anecdote croustillante, Cameron Diaz était étudiante dans le même lycée que Snoop pendant sa jeunesse et malgré qu’ils ne se connaissaient pas particulièrement à l’époque, Cameron aurait acheté du Cannabis à Snoop à plusieurs reprises.

Lady Gaga

L’artiste multi facettes réputée pour ses excentricités et pour son franc parlé a révélé dans un documentaire biographique souffrir de fibromyalgie. Et ce n’est un secret pour personne que Lady Gaga traite ses douleurs en partie grâce au Cannabis. Il ne vous sera pas difficile de trouver sur internet des photos de Lady Gaga, un joint à la bouche.

Bob Marley

En bien ou en mal, l’image de Bob Marley sera éternellement liée à celle de la plante de Cannabis. Bob Marley était rastafari et fumer du Cannabis (ou de la Ganja) est considéré comme un sacrement par les rastas. Bob Marley, les rastas, le reggae et le cannabis deviendront avec le temps, des symboles de la libération, du progrès social, du retour aux sources africaines de l’humanité et d’une nouvelle spiritualité détachée des contraintes matérielles de l’Occident.

Morgan Freeman

Mention spéciale à ce grand monsieur du cinéma, le célèbre et oscarisé acteur, complétement acquis à la cause du cannabis a déclaré lors d’une interview : « J’aime le Cannabis et j’en suis consommateur ; je le consomme de n’importe quelle forme, je le mange, le boit, le fume et le sniffe ! »

Comment consommer le CBD ?

En vapotant ou fumant

Certaines personnes aiment fumer des fleurs CBD. Il est possible d’associer les bienfaits du chanvre à ceux d’autres plantes. Pour fumer du CBD, tu trouveras des bâtons de plantes ou bâtons de chanvre. Seul bémol, lors de la combustion du chanvre, une partie des composés actifs sont perdus. Ce n’est pas une consommation optimale mais une consommation tout à fait agréable ! 

Une alternative à ce mode de consommation qui induit une combustion est la vaporisation du CBD. Régle la température de votre vaporisateur au degré près, place vos fleurs de CBD à l’intérieur puis vapote ! Pendant la vaporisation du CBD, le point de combustion n’est pas atteint. Tu pourras donc bénéficier de tous les bienfaits du cannabidiol et des autres composés actifs du chanvre (terpènes, flavonoïdes…).

Tu peux aussi vapoter du e-liquide CBD comme vous le feriez avec une cigarette électronique classique et un e-liquide contenant de la nicotine. Il te suffit d’acheter un e-liquide au cannabidiol. Ce liquide concentré en CBD (sans nicotine) se présente dans un petit flacon et permet de recharger ta vapoteuse. Le vapotage de CBD est adapté à une consommation sur une période relativement courte (pas pendant 45 minutes en lisant votre livre). Tu ressentiras les premiers effets du CBD au bout de 10 minutes environ. Et comme le CBD n’est pas psychoactif, tu ne ressentiras donc aucun effet high (ou planant).

En Vapes jetables

Des goûts fruités dans des emballages colorés, les «puffs CBD» ou encore cigarettes électroniques jetables au CBD, ont tout l’air d’un bonbon. Ce produit tout en un s’est imposé dans le quotidien de plusieurs d’entre nous. Les e-cigarettes jetables au CBD sont de plus en plus consommées, car elles possèdent de nombreux bie

nfaits. 

La puff au CBD est discrète, légère et très efficace pour arrêter de fumer. De plus, ces vapoteuses au CBD sont captivantes et se déclinent en une variété de saveurs.

En huiles

L’huile de CBD est un produit qui connaît une popularité croissante et ceci s’explique facilement !

En effet, l’huile de cannabidiol se consomme de différentes manières :

  • Huile CBD en application sublinguale : tu peux la consommer en déposant quelques gouttes d’huile CBD sous ta langue. Patiente de 30 secondes à 1 minute avant d’avaler. Le CBD agira sur ton organisme en 20 minutes !
  • Huile CBD en cuisine : l’huile de CBD est liposoluble, cela signifie qu’elle se dissout dans les corps gras. Pour que ton organisme l’absorbe bien, tu peux donc ajouter quelques gouttes de votre huile CBD dans vos différents plats, dès lors qu’il y a un corps gras (huile, crème, lait, beurre…). Évite de la faire cuire.
  • Huile CBD hydrosoluble dans vos boissons : ce type d’huile CBD hydrosoluble présente l’avantage de se dissoudre dans l’eau. Tu n’as donc pas besoin d’associer une matière grasse pour l’assimiler correctement. Elle est idéale pour ajouter quelques gouttes à tes boissons et profiter des bienfaits du CBD tout au long de ta journée ! 

L’huile de CBD est conditionnée dans des flacons compte-goutte, ce qui la rend facile d’utilisation. Ainsi, tu maîtrise le nombre de gouttes que tu consomme. La pipette de certains flacons est même graduée (en milligrammes) pour te permettre de mesurer précisément la quantité de CBD ingérée.

Nous te conseillons d’acheter une huile full spectrum. Cela signifie que tous les cannabinoïdes présents dans la plante de chanvre ont été conservés ainsi que les autres composés actifs comme les terpènes et les flavonoïdes. Ils agissent en synergie et procurent un maximum de bienfaits à notre organisme.

En bonbons

Pour un mode de consommation discret, rapide et un peu gourmand, nous te conseillons les gummies au CBD ! Ils sont aussi parfaits pour faire une petite pause de douceur au cours de la journée ou juste satisfaire une envie de sucré pleine de bienfaits !

La plupart du temps les gummies au CBD prennent la forme de petits bonbons gélatineux auxquels est ajouté de l’isolat de CBD, un extrait de CBD comprenant plus de 99% de cannabidiol. Tu peux également acheter des gummies au distillat de CBD, un concentré de cannabidiol extrait de la plante de chanvre par distillation à la vapeur. Les gummies au distillat de CBD contiennent les autres composés actifs du chanvre. Ces produits de grande qualité permettent donc de profiter de tous les bienfaits qu’offre cette plante adaptogène.

En tisane

Tu peux également consommer des infusions au CBD. Les bienfaits des fleurs de CBD y sont associés à ceux d’autres plantes. Tu peux trouver des thés au CBD, du rooibos au CBD, des tisanes CBD à l’eucalyptus…

Les tisanes CBD sont certainement le moyen le plus doux de consommer du cannabidiol. Grâce aux infusions au CBD, tu profites des bienfaits du cannabidiol et d’un agréable moment de détente dans ta journée. On l’adore pour commencer la journée en douceur, pour s’apaiser après une grosse journée et pour se préparer à passer une bonne nuit de sommeil sans insomnie.

Notre conseil : privilégie des tisanes au CBD bio pour éviter la présence de résidus chimiques dans votre infusion.

Retrouve toute ces produits chez The Dopestore en magasin ou sur le site dans la catégorie C.B.D.

Leave a comment

Please note, comments must be approved before they are published
Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi January February March April May June July August September October November December